OLIVIA RUIZ
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
OLIVIA RUIZ

Une artiste, un univers surprenant et décalé, rock alternatif acidulé!
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

 

 concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!!

Aller en bas 
AuteurMessage
ainoza
Ruizien
ainoza


Nombre de messages : 471
Localisation : montpellier (34) et lezignan corbieres (11)
Date d'inscription : 15/06/2005

concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! Empty
MessageSujet: concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!!   concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! EmptyDim 4 Juin - 18:04

JOHNNY HALLYDAY « FLASHBACK TOUR »
Samedi 3 juin 2006 au Palais des Sports :

« FLASHBACK », le plus grand et plus beau show de l’année 2006 ! JOHNNY a clairement réussi son pari : mélanger l’intimiste avec le mégashow. C’est à-dire faire un spectacle accompgné d’un groupe resserré, avec un son rock’n’roll et blues, concentré sur sa musique, tout en proposant assez de jeux de lumières et d’animations visuelles en fond de scène pour que l’on assiste à un vrai show haut en couleurs. On entend super bien : un gros son qui est à la fois subtil, clair, nuancé, audible et puissant. Le son de salle est assuré par Stéphane Plisson (qui avait fait le son des concerts d’Etienne Daho pour sa tournée « Corps et armes » en 2000/2001).

La set list a été profondément renouvelée par rapport aux concerts de la tournée 2003 : sur les vingt-cinq titres, seuls neuf ont été joués au Parc des Princes 2003 (« La musique que j’aime », « Gabrielle », « Carole », « Marie », « Allumer le feu », « Ma gueule », « Que je t’aime », « Le pénitencier », « J’oublierai ton nom »). Les quinze autres sont des titres du dernier album, des inédits (« Seul au milieu d’un lac »), la reprise de Jacques Brel (« La quête »), des anciens titres pas chantés depuis au moins dix ans (voire beaucoup plus pour certains). Les arrangements sont dans l’ensemble assez rock’n’roll, rentre-dedans, parfois bluesy, sauf donc sur quatre ou cinq titres variétoches. A la décharge d’Yvan Cassar (l’arrangeur), ces titres-là sont déjà à la base des slows ou des ballades variétés, donc on ne peut pas non plus faire des miracles dans ces cas-là...

La voix de JOHNNY également est à son top du top le long du show : parfaite, puissante, claire, et plein de nuances que ce soit quand il chante à fond ou bien de façon plus calme. De toute façon, JOHNNY en live a une voix au top à partir des concerts du Stade de France 1998. Avant - je m’en rends compte avec le recul -, mais c’était beaucoup moins bien (notamment quand on écoute les albums live du Palais des Sports 1971, 1976, 1982 ; de Bercy 1990, 1992, 1995 et, le pire, celui du Pavillon de Paris 1979 où sa voix est toute abîmée, défoncée, et qu’on ne reconnaît presque pas). Avant septembre 1998, sa voix était éraillée et gueulante, une voix à la Garou avant l’heure mélangée avec celle de Joe Cocker (deux chanteurs que je déteste). Plein de fins de vers dans les chansons étaient bâclées, Johnny en faisait des tonnes aussi à la fin de certaines chansons (par exemple, « La musique que j’aime » : « Wèè elle vient de là, elle vient du… Elle vient du… Wèèè elle vient du bluuuuuuuze wowowoyéaaaaah »). Je préfère largement sa voix de septembre 1998 à aujourd’hui, elle est parfaite, beaucoup plus subtile et nuancée même quand il est à bloc et qu’il y va à fond à fond.

A 20h30, sur les écrans situés de part et d’autre de la scène (qu’on ne voit pas pour l’instant, un immense rideau noir la cachant) diffusent des images (en direct ?) des coulisses de ce que voit JOHNNY (via sans doute une minicaméra qu’il a sur lui ou sur ses lunettes). On voit ce qu’il voit : il est dans les loges, en face de lui il a Jean-Claude Camus (le producteur), Laeticia, Bernard Schmitt (le co-metteur en scène, avec Johnny lui-même). Puis il quitte la loge, descend des escaliers, va saluer ses musiciens, arrive sur scène derrière le rideau. Et c’est la fin de diffusion de ces images.

A 20h40, Laeticia arrive dans la salle et va s’installer parmi les premiers rangs situés derrière la fosse (où se trouvent cinq cents personnes debout, mais qui ont dû mettre le paquet pour avoir le droit d’y être : 85 euros. Moi j’étais en haut à l’avant-dernier rang, j’avais une place à 47 euros, les moins chères. Mais même à cette place-là, on voyait très bien tout le show, car ce n’est pas si grand le Palais des Sports, finalement)

A 20h45, les lumières s’éteignent. On entend des bruits d’avions, des tirs, des bombardements. Des faisceaux de lumière blanche virevoltent un peu partout dans la salle du sol jusqu’au plafond. Un écran géant occupant tout le devant de la scène diffuse alors une animation en 3D (façon jeu vidéo sophistiqué) représentant une ville dévastée par la guerre, où il n’y a personne dans les rues, où les bâtiments sont en ruine, et où le ciel est gris. Arrive alors la façade d’un opéra tandis que retentit les premières mesures « symphoniques » (mais jouées, je pense, à partir d’un clavier vu qu’il n’y a aucun violoniste dans les musiciens) de « L’ENVIE ». Derrière cette écran géant, on voit une ombre surgir du sol, celle de JOHNNY.

Il commence à chanter « Qu’on me donne l’obscurité et la lumière… ». Et là l’écran géant disparaît, le rideau aussi, JOHNNY apparaît dans un rayon de lumière en continuant à chanter « L’ENVIE » (acclamé par la foule en délire). Il porte un pantalon noir un peu patte d’eph (comme celui de la Tour Eiffel 2000) et une veste classe, grise et noir (un peu comme celle de la Tour Eiffel 2000, également). L’orchestration symphonique, sans batterie, ni guitare, ni basse, dure jusqu’à la fin du deuxième refrain. A partir de ce moment-là, la scène s’éclaire, les musiciens apparaissent distinctement : les guitaristes REJEAN LACHANCE et ROBIN LEMESURIER, le batteur GEOFF DUGMORE (celui qui fait quasiment toutes les batteries sur l’album « MA VERITE »), le bassiste LAURENT VERNEREY, le pianiste YVAN CASSAR (également arrangeur) et le percussionniste . Tous sont alors en action, c’est la partie « électrique » de « L’ENVIE ». Le show est parti pour de bon !


Dernière édition par le Dim 4 Juin - 21:08, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
ainoza
Ruizien
ainoza


Nombre de messages : 471
Localisation : montpellier (34) et lezignan corbieres (11)
Date d'inscription : 15/06/2005

concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! Empty
MessageSujet: Re: concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!!   concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! EmptyDim 4 Juin - 18:05

Le décor apparaît clairement à cet instant-là : deux « vrais » escaliers du côté gauche et du côté droit de la scène (comme on peut en voir dans les halls d’un château, par exemple). Au centre, se trouvent tous les musiciens et Johnny. Dans le fond et sur les côtés de la scène, ce sont des rideaux rouges et dorés comme dans un théâtre ou un opéra. Au centre du fond de scène, il y a un écran géant (genre dix mètres sur dix mètres, à vue de nez) dans lequel seront diffusés des gros plans de Johnny en direct en train de chanter, et des animations en 3D.

Sur « JE SUIS NE DANS LA RUE », le guitariste et choriste ALAIN COUTURE arrive discrètement, tout comme les deux choristes noires (à la fin de la chanson pour chanter « Dans la rue / Dans la rue »), avec une coiffure brushing très « Marie Antoinette », 19e siècle (bref, comme celle des violonistes sur « Pense à moi » lors du Parc des Princes 2003). Ca commence à rock’n’roller et à chauffer tranquille avec cette version proche de celle de l’Olympia 2000, avec en plus l’intro telle qu’elle est sur la version studio originale de 1969 (un petit son de guitare, le roulement de batterie, puis le morceau qui démarre).

« CE QUI NE TUE PAS NOUS REND PLUS FORT » est un titre qui, en live, sonne punchy et direct, beaucoup plus que la version studio. Par contre, les paroles signées Guy Carlier sont vraiment nulles, pleines de poncifs et enfonçant des portes ouvertes.

Premier moment d’émotion de la soirée : « MARIE ». Johnny la chante avec juste REJEAN LACHANCE à la mandoline pendant une bonne minute, puis les autres musiciens se joignent à eux. Le public reprend en chœur les paroles.

Tout comme il reprend en chœur le refrain massif de « LA PAIX » : « Qu’on me fiche la paix ! Qu’on me fiche la paix ! ». En animation 3D en fond de scène pour ce morceau, on peut voir plein de micros (symbolisant les journalistes, les paparazzi, etc), un journal intitulé « SCOOP MAGAZINE » avec en Une « Johnny Star System ? » et une photo de JH illustrant le tout), des caméras, etc. A la fin de la chanson, ces micros explosent, se brisent, tombent.

Sur « MA GUEULE », dont l’orchestration est proche de celle du Parc des Princes 2003, les visuels de fond de scène, ce sont des centaines de petites photos et vidéos de Johnny en live (comme sur l’affiche officielle de « Flashback »).

« HEY JOE » est jouée de façon très bluesy, avec le texte en français de Gilles Thibault. REJEAN LACHANCE fait de superbes solos. L’orchestration est allégée par rapport à la version du live du Parc des Princes 1993/Bercy 1992, presque acoustique (sauf que donc il y a les solos de guitare électrique). Superbe !

Premier moment variétoche bof « normale » de la soirée : « J’OUBLIERAI TON NOM », ballade sirupeuse faite en duo avec l’une de ses deux choristes (celle qui est anglo-saxonne). Le refrain est repris en chœur par le public. Moi, le côté grandiloquent pompeux variétoche de Johnny me gonfle et ne m’intéresse carrément pas (tous les morceaux comme « Derrière l’amour », « Elle m’oublie », « Ne m’oublie pas », « Requiem pour un fou », etc. Au secours !).

La version du « BON TEMPS DU ROCK’N’ROLL » est une réussite : dans l’esprit de « WHOLE LOTTA SHAKIN GOIN ON » de Jerry Lee Lewis (la version 1988 qu’on peut entendre sur le CD de la B.O. du film « Great balls of fire » pour ceux qui l’ont, c’est exactement ce son-là : clair et limpide), jouée de façon enjouée, sautillante, avec l’arrivée du saxophone RAY HERMANN en haut de la scène. Les lumières sur ce morceau sont flashy, toutes jaunes, très chouettes !
Revenir en haut Aller en bas
ainoza
Ruizien
ainoza


Nombre de messages : 471
Localisation : montpellier (34) et lezignan corbieres (11)
Date d'inscription : 15/06/2005

concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! Empty
MessageSujet: Re: concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!!   concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! EmptyDim 4 Juin - 18:08

Arrive la partie « unplugged », comme l’a dit JOHNNY. JOHNNY et ses musiciens s’installent avec leurs instruments sur le devant de la scène, devant le grand rideau de scène qui se referme. « Je vous entends mais le problème, c’est que je ne vous vois pas vraiment. Est-ce qu’on peut allumer la salle ? » Les lumières s’allument plein pot dans la salle, tout le monde est debout, hurle, applaudit. Et Johnny, ravi, les deux pouces en l’air, dit en souriant : « Vous voyez, c’est pour ça que je vous aime ! »

Ils jouent en acoustique « LE PENITENCIER » et « J’AI OUBLIE DE VIVRE », aux arrangements ratés car sonnant easy listening, musique d’ascenseur. Les solos de guitare de REJEAN LACHANCE sur ces deux titres précis sonnent comme ceux de Claude Ciari du groupe Les Champions (un combo instrumental des sixties). Par contre, la voix de JH est impecc’, puissante (comme pendant tout le show). Mais musicalement, là, les réorchestrations de ces deux titres sont ratées, trop mièvres, gentillettes, pas à la hauteur de l’original de 1964 pour « LE PENITENCIER ».

En revanche, toujours dans cette session acoustique, « COURS PLUS VITE CHARLIE » et « LA MUSIQUE QUE J’AIME » sont un vrai régal, un pur bonheur. « COURS PLUS VITE CHARLIE » est jouée de façon sautillante rockab’ western country (comme au Bercy 95 mais en dix fois mieux) ; et « LA MUSIQUE QUE J’AIME » de manière roots blues du Delta avec Ray Hermann qui a troqué son sax pour l’harmonica. Grandiose, aux sources du blues !

Puis JOHNNY retourne en coulisse se changer. Le groupe joue alors une chouette version ravageuse de « PROUD MARY », façon Tina Turner 70s. Les deux choristes femmes ont de sacrées voix soul rhythm’n’blues. Le guitariste ALAIN COUTURE, venu chanter deux ou trois phrases, lui, ne faisait pas le poids vocalement, à côté d’elle. Après cette chanson, il ne reste plus que sur scène le batteur et le percussionniste qui, pendant deux minutes, font une démonstration « technique » de leur savoir-faire (rappelant l’intro aux percussions de « Que je t’aime » au Stade de France 1998). En fait, c’est le début de la version 2006 de « VOYAGE AU PAYS DES VIVANTS ». Le groupe réapparaît donc au complet, tout comme JH, apparemment dans un autre pantalon et une autre veste, mais quand même similaires à la tenue de scène qu’il avait pendant la première partie du show. Cette version 2006 sonne, disons, funk rock’n’roll torride, offensif et démentiel. Ca sonne comme « ALLUMER LE FEU » du Parc des Princes 2003. A partir de cette chanson et jusqu’à l’avant-dernière (« Si tu pars »), il y aura des projections d’animations 3D sur tout le long du fond de scène. Sur « VOYAGE AU PAYS DES VIVANTS », c’est un peu comme si on était sur une planète Mars inconnue, en feu, « inhabitable » pour des humains, où on voit des démons, des goules, en train de se mouvoir. La chanson réarrangée tout comme l’animation visuelle qui l’accompagne est une grande réussite !

Ensuite, JH et ses musiciens interprètent un inédit : « SEUL AU MILIEU D’UN LAC », un immense blues en français qui laisse présager de la réussite artistique de son futur album de blues (s’il est du niveau de cette chanson). Ca commence sur un tempo lent, avec une voix calme de JOHNNY, ça monte crescendo pour arriver dans une ambiance soul façon « je me sens seul ce soir, y a-t-il quelqu’un qui veuille m’aimer ici ce soir », avant de revenir à l’ambiance calme du début de ce morceau. Dans la façon dont Johnny chante ce titre, ça fait penser à « Je te promets » : calme, puis il monte la voix, faisant des trucs incroyables et puissants avec elle, comme un bluesman noir américain, avant de redescendre tranquillos. Le morceau est parsemé de beaux solos bluesy roots authentiques de guitare. Je crois que le texte est une sorte de métaphore sur la vie de JOHNNY, le « lac » étant son quotidien, l’environnement dans lequel il évolue. Dommage toutefois que ce morceau qui s’est étiré sur cinq bonnes minutes n’ait eu que des applaudissements polis et pas aussi nourris que par exemple à la fin des insupportables slows « Derrière l’amour » et « J’oublierai ton nom ».

Ensuite, REJEAN LACHANCE grimpe les escaliers pour être au milieu de la scène, dans le fond et faire un solo digne de Jean-Pierre « Rolling » Azoulay. A un moment, j’ai cru que c’était l’intro de « Rivière ouvre ton lit » mais en fait, c’était « ALLUMER LE FEU », une bonne version live efficace de ce titre de rock pompeux de stade écrit par Obispo. Côté animation 3D sur ce morceau, ce sont des voitures de police qui poursuivent une autre voiture dans une grande ville plein de gratte-ciels.

En fait, « RIVIERE… OUVRE TON LIT » arrive juste après. C’est une version « tellurique » (pour employer un terme parfois utlilisé par les rock critics), aussi rock’n’roll que l’original de 1969, avec la voix puissante de JOHNNY. Je ne pensais pas qu’un jour, JOHNNY reprendrait cette chanson à plus de 60 ans tellement le texte est sauvage, cru, animal. Mais justement, tant mieux ! Par contre, le truc curieux, incohérent et incongru, c’est que le pianiste et arrangeur Yvan Cassar ait choisi de faire jouer de la flûte traversière (?!) à Ray Hermann sur un tel morceau rock’n’roll pendant les « ponts » de la chanson.

« MON PLUS BEAU NOEL » est interprété et joué comme sur l’album « MA VERITE » (avec aussi les chœurs d’enfants, a priori diffusés à partir du clavier). J’aime cette chanson. En fond de scène, on voit de nombreuses vidéos intimes de Johnny, Laeticia et Jade (pour qui cette chanson a été écrite) chez eux, dans leurs jardins, en vacances, sur la plage. Certains pourront trouver ces images trop people et hors sujet dans un concert, mais moi j’ai bien aimé. C’était très émouvant à voir et à entendre.

Ensuite, une grosse dédicace aux « Rocks les plus terribles » (le plus grand album de rock’n’roll en français avec « 39 de fièvre » de Marie France) avec « O CAROLE » réarrangé sautillant sixties carré rock’n’roll dynamique et clair. C’était d’enfer ! Les animations 3D, derrière, c’était des images qu’on peut voir sur les machines à sous des casinos.

Ils ont ensuite fait une reprise en anglais de « HONKY TONK WOMEN » des affreux Rolling Stones. Mais la version de JH était super, très rythm’n’blues, avec les voix chaudes et soul des choristes. A la fin de la chanson, il dit : « Je suis très très très heureux de revenir ici, au Palais des Sports, pour pouvoir faire cette fête avec vous ! »

Deuxième moment variétoche et « en trop » du show : « DERRIERE L’AMOUR », le slow rital. Le public a acclamé JOHNNY à la fin de la chanson, ça aurait été plus chouette qu’il reçoive autant d’ovations après le blues « SEUL AU MILIEU D’UN LAC ».

« GABRIELLE », le dernier titre rapide et ambiancé rock du show, est jouée quasi-telle quelle dans la version (la meilleure de toutes) de la tournée 2003. En fond de scène, on voit une silhouette féminine danser sur fond jaune et entre les lettres « G A B R I E L L E ». On a bien sûr tous levés les bras en croix sur « Mourir d’amour enchaîné ! » au refrain : immanquable !

Je n’aime pas écouter la chanson « QUE JE T’AIME », trop lyrique, emphatique, etc. Par contre, en concert, à chaque fois j’aime bien l’entendre car on y sent une très grande communion, très intense, entre JH et le public. A la fin de la chanson, JOHNNY et ses musiciens se mettent en rang sur le devant de la scène pour remercier le public qui les applaudit à tout rompre.

C’est le moment du rappel : JOHNNY revient en disant : « Vous êtes vraiment… vraiment… vraiment… extraordinaires ! » Acclamations de la part du public. Puis il poursuit en souriant : « On pourrait rester ensemble des heures, des heures et des heures, des jours, des jours et des jours, mais vous finiriez par vous lasser de moi ! » Le public entier répond bien sûr par la négative. Puis il chante « SI TU PARS » en version piano/voix/guitare/basse/batterie, un peu comme la version studio. Détail technique : j’ai trouvé que Johnny semblait un peu en décalage par rapport au piano pendant le premier couplet (mais c’est pas grave et c’est sans importance, et je me trompe peut-être).

Le moment encore plus émouvant que « SI TU PARS », c’est l’ultime chanson du spectacle, qu’il introduit comme ça : « Pour finir le spectacle, j’ai choisi une chanson écrite par quelqu’un qui a toujours beaucoup compté pour moi et qui était mon ami : monsieur Jacques Brel. » Il interprète alors « LA QUETE », un morceau un peu connu de Brel mais beaucoup moins que par exemple « Amsterdam » ou « Ne me quitte pas ». Il en fait une superbe version piano/voix. Le texte correspond parfaitement à Johnny, à la carrure du personnage, à sa personnalité, sa vie, ses ambitions, son amour de la musique, de son public et de la vie. Ses derniers mots sont donc « … Pour atteindre l’inaccessible étoile ». Puis il s’en va vers le fond de la scène. Les lumières se rallument doucement vers 23h05. Fin du show magique et sublime « FLASHBACK TOUR ».



voila le compte rendue !!!! en remerçiant son auteur qui n est pas moi a mon grand regret vivement novembre 2006 !!!!!!
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! Empty
MessageSujet: Re: concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!!   concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!! Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
concert johnny hallyday!!!!!!!!!!!!!!!
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
OLIVIA RUIZ :: ARTISTES DIVERS-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser