OLIVIA RUIZ ET LA PRESSE

PRESSE INTERNET :

Voici un petit article bien sympathique que j'ai trouvé en parcourant les pages du célèbre moteur de recherche Google :


Ce vendredi 30 septembre était la journée phare du Festival de la Chanson Française. Pas moins de cinq concerts organisés en parallèle dans le pays aixois. Les plus chanceux étaient sûrement ceux qui étaient du coté de Simiane avec le concert d'Olivia Ruiz.

Olivia Ruiz a définitivement tourné la page de l’univers de la Star Academy qui l'a fait connaître au grand public. Depuis quelques années déjà, elle fait son chemin seule et imprime son style : festif, énergique, très hispanique, son Sud est omniprésent. Face à la monotonie de cette fameuse "nouvelle scène française", Olivia sait se démarquer et impose un style véritablement unique. Sur scène, c'est un univers rétro, rempli de charme, tantôt bal-musette, tantôt plus agité, qui se marie parfaitement avec son charme naturel, elle est dotée une voix si caractéristique et d'un vrai talent de comédienne. Au delà de cette prestation scénique, la mélodie et les textes de ses chansons prennent une place primordiale. Olivia a su s'entourer de très bons musiciens et de belles signatures : Juliette, les Têtes raides ou Tryo sont autant d’artistes qui ont accepté d'écrire pour elle. Le 14 novembre, Olivia sortira son deuxième album "La Femme Chocolat", dont elle a offert au public quelques extraits vendredi. A n'en pas douter, tout le public ( nous inclus) a été envoûté par ses chansons et sa présence scénique. Une artiste à suivre…

Par Jean-Baptiste Fontana & Pauline Volton

Source web : http://www.ifestival.fr/affichart.asp?ids=81

Voici un article paru aujourd'hui, sur le figaro.fr

par Bertrand Dicale


Olivia Ruiz, unique et bien entourée Chanson Avec La Femme chocolat, son nouvel album, elle confirme ses talents, sa liberté et une position singulière dans le paysage.

«J'traînais les pieds et des casseroles/Je n'aimais pas beaucoup l'école/J'traînais les pieds et mes guiboles abîmées/J'explorais mon quartier/J'traînais les pieds dans mon café/Les vieux à la belote braillaient». Par cet autoportrait d'enfant élevé dans un café, Olivia Ruiz commence son nouvel album, La Femme chocolat, qui vient de paraître (chez Polydor-Universal) alors qu'elle entame une nouvelle tournée. Et J'traîne les pieds est la première chanson que, dans sa carrière, signe Olivia Ruiz...

pour la suite, je vous laisse le soin d'aller faire un tour http://www.lefigaro.fr/culture/20051111.FIG0182.html?080227

Article sympa, même si le clin d'oeil à la Star Ac' aurait pu être évité!
les journalistes ont du mal à s'en défaire, de point si attypique de la carrière d'Olivia ... dommage !

Olivia au goût de chocolat

OLIVIA RUIZ Un deuxième album pour l'affranchie de la «Star Ac'»

PATRICIA GNASSO
11 novembre 2005





L'élève de la première édition de la «Star Academy», éliminée en demi-finale, s'est vite affranchie de l'école paillettes et business. Après un premier album, «J'aime pas l'amour», sorti en octobre 2003, une longue tournée, une nomination aux Victoires de la musique, Olivia Ruiz remet l'ouvrage sur le métier avec «La femme chocolat». Un disque à l'ambiance pop-rock acidulée dans lequel elle s'est beaucoup investie, écrivant et composant quatre des treize chansons, s'entourant d'auteurs et de musiciens de son choix, tels Mathias Malzieu, Juliette ou Christian Olivier, des Têtes Raides.

La silhouette allumette, les yeux de braise qui trahissent ses origines hispaniques - «Je dois aussi à mes grands-parents espagnols mon côté épicurien» -, elle a, quand elle parle, les accents chantants de la région de Carcassonne, où elle est née il y a vingt-cinq ans. Sympathique et pas crâneuse, Olivia Ruiz, de passage à Genève. C'est une jeune femme pleine d'énergie, volontaire et très attachée à sa famille, à qui elle dédie ce nouvel album, une façon de lui dire: «Merci d'avoir fait de moi quelqu'un de bien!»



Quand on fait référence à la «Star Ac'», ça vous donne de l'urticaire?
Non, c'est grâce à cette émission que les gens m'ont connue. Maintenant, je préférerais qu'ils disent que j'ai été nominée aux Victoires de la musique, par exemple. Il n'empêche que j'ai gagné dix ans en y ayant participé. Quand on est une provinciale de 20?ans, il est difficile d'imaginer de signer un contrat avec une grande maison de disques. Ce que j'ai pu faire.

Deux albums en deux ans, vous allez vite en besogne, non?
J'ai très peur de rester inactive, je ressens même une certaine angoisse. Sitôt ma première tournée terminée, j'ai eu envie d'un nouvel album. En deux temps trois mouvements, j'avais organisé mes petites chansons et celles des autres. Je suis non seulement contente de ce disque, mais fière. Je l'ai coréalisé, j'ai conçu la pochette, il m'a fait bien grandir.

Trouvez-vous votre compte dans cette vie d'artiste?
Mon père, musicien dans le sud de la France, ne m'avait pas menti. C'est un métier difficile, on est assez seul, même quand on est très entouré. Ma famille est loin de Paris, les enfants de mes amis, mes petits-cousins poussent sans moi. Mais mes journées sont tellement remplies! De toute façon, j'ai à la fois un côté clanique, bohémien, et un côté loup solitaire. La solitude a quelque chose de beau quand on a le loisir de choisir, dit une de mes chansons. En résumé, je suis comblée par ce métier. J'ai l'impression qu'il m'a choisie. C'était comme une évidence.

Avez-vous des modèles parmi les chanteuses?
Disons qu'il y a deux nanas qui me font rêver: Juliette, qui m'a écrit des chansons, et Catherine Ringer, des Rita Mitsouko. Chaque fois que je les écoute en concert, quelle claque! Et je me dis qu'un jour je deviendrai une grande dame, comme elles. Elles font à mes yeux une carrière exemplaire. Elles en ont dans le pantalon, comme on dit chez moi!

Et si ça ne marchait plus, vous renonceriez à ce métier?
Je suis prête à me battre jusqu'à ce qu'il ne me reste plus la moindre force. Mais j'ai encore de bonnes années à m'épuiser avant de renoncer. C'est un métier où on oublie les déboires dès qu'on a de bonnes nouvelles. Ma mémoire est sélective, et c'est tant mieux.

«La femme chocolat», Olivia Ruiz, distr. Universal, sortie le 14 novembre


source : Le Matin Online

OLIVIA RUIZ A EN ETRE CHOCOLAT



Des yeux marron qui vous regardent bien en face, deux paquets de Camel bleues et l'accent de Carcassonne. Le charme opère. En tailleur sur un fauteuil trop grand pour elle, la femme chocolat a pris de la bouteille, suite au succès de la tournée marathon de son premier album, J'aime pas l'amour, disque d'argent. Tout aussi à l'aise avec La Femme chocolat, son nouvel opus:
«Tout ce que je suis est là-dedans.»

L'album s'ouvre sur la légèreté d'une comptine de gamine chantonnée sur un ton de petite allumeuse. Histoire de se souvenir que la nouvelle star de la chanson française n'a que 25 ans. Le ton change, vire au blues, avant d'adopter le timbre, la maturité d'un vieux rock à la sauce hispanique. Olivia Ruiz, c'est cela, l'innocence de Vanessa Paradis déchirée par des cris de colère carrément punk, un mélange subtil de sensualité, de nicotine, de cours de récréation et de squat alternatif. La Femme chocolat tient au ventre. On devine un long cheminement, de multiples influences.

Petite, Olivia accompagne son père qui chante les tubes tout-venant des 60's dans les bals. Sa mère passe en boucle les Rita Mitsuko sur le juke-box familial. A 13 ans, Olivia trimballe dans les concours de chant l'enivrante Nathalie de Bécaud, cette feinte lancinante qui s'emballe en un tournemain, un titre sur mesure pour Olivia, un succès assuré, mais lorsqu'elle envoie une maquette de ses propres créations aux Têtes Raides qu'elle idolâtre, silence. Elle doit attendre 2001, lorsque le leader Christian Olivier lit le nom de son groupe sur le T-shirt de la star académicienne Olivia, pour qu'il lui propose la première partie de sa tournée. La passion est intacte. Christian, «un type chtarbé, fêtard, mais honnête et droit», prête sa voix à l'album. Autre histoire d'amour, autre T-shirt visible sur TF1: Bertrand Cantat, à qui Olivia adresse un petit mot de soutien: «Courage et reviens-nous vite! Nos oreilles saignent depuis ton départ.»

Encore faut-il ajouter l'influence de Christophe Mali, des Tryo, qui lui laisse une chanson, Cabaret blanc, peut-être la plus fragile. Un texte fantaisiste et raffiné de Juliette, trois tubes annoncés signés Mathias Malzieu, le leader des Dionysos, et La Molinera, issue de la tradition espagnole, clin d'oeil à ses trois grands-parents émigrés.

Olivia, femme chocolat à la corde chaleureuse, fond les styles, mélange les idiomes, réunit les artistes. Olivia Ruiz, un praliné sorti du four, à goûter sans modération!

BLAISE HOFMANN

pas mal du tout ce petit article !
il fait le tour du sujet et de manière élogieuse !



la photo est celle qui accompagne l'article ou c'est une photo qui te plait à toi (Drakula) ?

Non, c'est la photo de l'article... D'ailleurs, c'était la même que dans l'article du Matin Bleu du 17 novembre

Ca, c'est pour Laura qui aime bien les smileys...

QUE PENSEZ VOUS DE CET ARTICLE??? moin je le trouve assez.......valorisant pour olivia disons



La femme chocolat.....

Comme quoi la Star Ac’ cela aura au moins réussi à quelqu’un. Artistiquement parlant bien sûr. Depuis que ce jeu de massacre auditif existe il n’a réussi qu’à fabriquer des interprètes lisses, sans reliefs, des variéteux à la petite semaine qui ne seront rien moins que des répliques des stéréotypes de la chanson française à grand succès. On a beau prendre de la chair fraîche, personne n’est dupe. A la Star Ac’ on prend des jeunes pour faire de la musique de vieux. Vive les stars de demains. Olivia Ruiz est sans doute un cas à part dans tout ce gloubiboulga musical. La jeune femme, qui tient à ses origines espagnoles comme à la prunelle de ses yeux, n’y est allée que pour se faire remarquer. Gagner la Star Ac’ ? Cela lui aurait certainement fait gagner du temps mais aurait-elle eu les mains libres ? Rien n’est moins sûr. Quoiqu’il en soit, elle parvient à se constituer quelques contacts et à imposer au bout de deux ans un album qui, elle l’avait prévenu, n’aura rien à voir avec la pâleur Star Académicienne. Soit. L’album est plutôt bien accueilli et connaîtra une belle vie.

La Femme Chocolat, son deuxième disque, lui permet de passer un palier supplémentaire. Olivia Ruiz s’impose de manière convaincante dans le paysage musical de la chanson française. Epaulée à la réalisation par Alain Cluzeau (Bénabar, La Trabant, Paris Combo, Les Pires) et par Mathias Malzieu (Dionysos), la demoiselle joue désormais à jeu égal avec n’importe quel autre artiste de ce qu’on appelle d’une manière générale la nouvelle chanson française. Olivia Ruiz n’est pas une chanteuse exceptionnelle mais elle compense par une personnalité forte et qu’on devine authentique. Entre sensibilité de chanteuse réaliste, rock velouté et ambiances hispaniques elle arrive à s’adapter, tel un caméléon, à des chansons aux couleurs variées. Du coup on ne saurait trop rien dire à ce petit bout de femme qui aura bien su s’entourer (Chet, Juliette, Ben Ricour, Nery, Mali) et être allée au bout de ses idées, refusant un formatage qui lui pendait au nez avec l’émission bétonnée de TF1. Ce sera tout de même le comble. Ce sera avec celle à qui on promettait un avenir très court dans la profession qu’on aura vu se profiler les choses les plus intéressantes. A croire qu’on manque un peu de pif du côté de la première chaîne. En tout cas Olivia Ruiz est bien cette Femme Chocolat, chanteuse fondante et chaleureuse.

Source : www.liabilitywebzine.com édité le 22 Novembre 2005

Ben pas mal du tout cet article !
bien tourné, et pleins de bonnes infos !
pour une personne ne connaissant pas Olivia et ayant des a-prioris à cause de son parcours, sera tentée d'écouter Olivia!

Aujourd'hui en faisant mon shopping régulier a la fnac je suis tombé nez a nez avec avec un magazine "openmag" (le magazine des labels musicaux) mensuel et gratuit, avec Olivia en couverture... A linterieur il y a une interview pas mal du tout...
Je me suis donc servi et je vous scannerai tout ca samedi si vous voulez...

moi je veux

Tribune de Genève, Décembre 2005


Pour mûrir, Olivia Ruiz goûte à son enfance

L’ex-starlette devenue chanteuse est aujourd’hui «Femme chocolat».

FABRICE GOTTRAUX
Publié le 12 décembre 2005

«J 'ai tout d'une petite espagnolette!» Un peu vaseuse (elle avoue avoir passé une nuit blanche), la jeune femme a le ton rauque des lendemains de fête. Presque un surcroît de sensualité que l'on met volontiers à charge des ascendants hispaniques de la belle.

Celle qui aujourd'hui «bouillonne» dans l'attente de grimper sur scène, n'a plus grand-chose à voir avec la starlette estampillée TF1, qui se fit connaître il y a de cela quatre ans. S'arracher au cloaque de la culture commerciale, voilà déjà un bel exploit. Pour son premier album, J'aime pas l'amour, Olivia préfère se tourner vers Juliette et Néry de Tryo que jouer les bimbolettes disco. Coup de bol ou piston, les deux auteurs-compositeurs acceptent. Emboîtant le pas des Benabar, Aldebert et autres Ogres de Barback, la chanteuse entend bien gagner ses galons d'indépendante, signature à l'appui. C'est chose presque faite avec La femme chocolat (Polydor/Universal) pour lequel Olivia a écrit quatre titres. Le reste, et pas des moindre, elle le doit une nouvelle fois à Juliette (La petite voleuse) et à Christian Olivier, chanteur des Têtes Raides (Non-dits ), entre autres. Rencontre.

Cet album, c'est un moment charnière?
J'avais besoin de me retrouver dans le passé, de me pencher sur mon enfance, sur le côté clanique de ma famille, d'évoquer mes grands-parents venus d'Espagne. Trois d'entre eux ont traversé les Pyrénées avec deux valises pour tout bagage pour fuir le régime de Franco. Tout cela, on le trouve dans La molinera , chanson flamenco que j'interprète avec mon papa. C'est un chant de douleur, qui dit: «Il y a trop longtemps qu'on est resté sans rien savoir.» C'est un chant d'amour, qui aurait pu être écrit par un enfant. On l'a fait avec notre ressenti. Rapport à l'Espagne, je me sens latino. Avec un côté impulsif, une façon de faire où l'on transcende le quotidien pour en faire quelque chose d'extraordinaire.

Vous chantez I need a child. Besoin d'un enfant?
C'est un texte que j'ai écrit lorsque j'avais 5 ans, sur la naissance de mon petit frère. J'imaginais ma mère accouchant, pleine de sang. J'ai regardé, et j'ai découvert quelque chose de formidable. Depuis ce jour-là, je crois que je me sens mère. Donner la vie, c'est le bonheur absolu.

Pourquoi La femme chocolat?
Mathias (ndlr: Mathias Malzieu, coréalisateur de l'album avec Olivia et Alain Cluzeau) sait que je suis une épicurienne. Le chocolat? C'est mon antidépresseur pour l'hiver. Mathias hallucinait de voir tout ce que je descends comme chocolat. Et une semaine après, je lui dis: «Tu ne trouves pas que j'ai grossi?» Enfin, j'assume mes rondeurs de femme grâce au regard d'un homme, qui me fait penser «dans tes yeux, je suis jolie...»

Vous voilà coproductrice pour la première fois...
Pour cet album, j'ai choisi tous les musiciens. Chacun y a mis du sien dans un beau bordel. Lorsque ça ne me plaisait pas, j'allais bouder dans mon coin. Et de me retrouver patronne de ma petite entreprise.
Côté musique, je ne joue pas d'un instrument, sinon chez moi. Mais sur scène, j'ai besoin d'avoir les mains vides. Avec un micro, c'est déjà assez compliqué. Il y a le fil dans lequel on peut se vautrer.

Un duo avec Christian Olivier, des Têtes Raides: pas banal.
Depuis mes 14 ans, je suis fan des Têtes Raides, de ce truc que l'on pourrait définir comme groupe festif d'enterrement! J'ai dû les écouter en concert quelque 80 ou 100 fois! Arrive ce jour où ils me voient à la Star Ac', avec un t-shirt à leur effigie…. Aujourd'hui, je me dis: «Incroyable, c'est leur chanteur qui travaille avec moi!» Avec Christian, on s'est retrouvé à déjeuner. Je lui ai confié des choses très personnelles. Puis il est venu faire des refrains, pour finalement tout chanter. Et voilà un duo!


http://www.tdg.ch/tghome/toute_l_info_test/culture_societe/olivia_ruiz__12_12.html

quelqu'un peut-il me donner une définition de la chanson néoréaliste svp ???

Voici un article trouvé dans la revue PHOSPHORE ( j'y suis abonné) et j'ai été agréablement surpris de retrouver la demoiselle Ruiz ...

Il y a aussi in super long article dans le magazine "Platine" de décembre
Je l'avais dailleurs acheté uniquement pour ça lol

Mais bon comme je ne fréquentais pas encore de forum sur Olivia; je n'avais pas scanné

pi y'a un article sur Olivia dans le Réponse à tout de ce mois !
mon scanner est mort dans j'peux pas le scanner!

j'ai un appareil numérique à la limite ...

sinon je peux te copier le texte, de toute façon la photo c'est l'album d'Olivia, qui fait partie de la sélection du magazine!
alors que choisis-tu chef ?

Article paru dans le Réponse à Tout du mois de Janvier


[place de la photo de l'album d'Olivia]


La femme Chocolat
Par Olivia Ruiz
Côté chanson française, c'est l'une des bonnes nouvelles de l'année. Enlevé,drôle et porté par des textes qui font mouche, l'album est d'une richesse musicale étonnante. Entre chanson réaliste, rock et rythmes hispanisants. A dévorer!