OLIVIA RUIZ ET LA PRESSE

music@ Le magazine gratuit 100% musique (Suisse), (45 janvier), 4 Novembre 2005

Olivia Ruiz
<<...j'ai même fait le graphisme de la pochette...>>


Toi qui es si jolie, as-tu reçu des propositions pour faire du cinéma?
Oui, des jeunes réalisateurs m'ont fait des propositions. Actuellement j'étudie la possibilité de tourner une tragèdie musicale, c'est une histoire absolment géniale.

Que s'est-il passé depuis deux ans?
Beaucoup de belles choses. Cent cinquante concerts et un très bel accueil de l'album qui, pour l'instant, a été vendu à plus de cinquante mille exemplaires, la nomination aux <<Victoires de la musique>> dans la catégorie <<Révélations scène>>, le prix Charles Cros pour le documentaire de Didier Varrod sur ma petite et courte existence, que peut-on rêver de mieux.

Comment fais-tu pour être encore plus belle qu'il y a deux ans?
Je suis certainement très bien maquillée, car j'ai fais une grosse nouba la nuit dernière, il faut croire que la fête me convient bien.

Comment est né ce nouvel album?
En premier lieu j'en crevais d'envie, je rêvais de montrer tout ce que j'avais en moi. Les chansons sont arrivées petit à petit, avec beaucoup de naturel, pour quatre-vingt pour cent d'entre elles je me suis jetée à l'eau en tant qu'auteur compositeur, j'ai coréalisé l'album, j'ai même fait le graphisme de la pochette, en fait la patronne a pris en mains les rênes de ma petite entreprise, je suis ravie de cela.

Est-ce que le titre de ton album <<La femme chocolat>> n'est pas un peu provocateur?
Chacun l'interprète à sa façon. Je ne suis pas partie avec cette idée. Cela peut dire plusieurs choses: <<Vous êtes à croquer ou je vais vous faire fondre>>. Pour moi cela veut dire que je suis une épicurienne qui aime bien manger, boire du bon vin, qui apprécie tous les plaisirs de la vie. Cela peut aussi dire que c'est un disque anti-dépresseur. Mais comme d'habitude ce disque a étét conçu à l'instinct, j'ai abordé les sujets que j'avais envie de traiter et en particulier celui de la famille, car j'avais besoin, pour continuer dans ma vie de femme, de parler de l'histoire de ma famille et tout particulièrement de l'immigration de mes grands-parents. Je voulais mieux connaitre mon passé pour pouvoir appréhender l'avenir dans de bonnes conditions et ainsi mieux me construire, de plus je crois qu'il faut aussi savoir rire de ce que nous sommes.

Penses-tu que la musique puisse changer le monde?
Non, je ne le crois pas vraiment, mais si elle arrive à le rendre plus beau, c'est déjà beaucoup. Je suis d'une nature plutôt optimiste, mais je reste lucide.

Es-tu facile à aimer?
Je pense que je suis facile à aimer, mais avec moi il faut s'attendre à tout, je suis le feu et la glace, le positif devient extrêmement positif et le négatif extrêmement négatif.

Mais entre l'amour et la musique, que choisis-tu?
Là, il n'y a pas photo, c'est la musique. Aucun homme ne pourra jamais prendre le pas sur ma passion, par contre je peux faire des kilomètres pour aller rejoindre mon amoureux, mais jamais je n'annulerai un concert pour une histoire d'amour.

Ton disque est plein de passion, peux-tu, en même temps, aimer passionnément?
Oui, j'ai un coeur si grand qu'il n'arrive pas à entrer dans mon petit corps, je suis pleine d'amour, de l'amour, j'en ai toujours et même de reste. Je peux donc aimer et chanter, chaque chose nourrissant l'autre.

Crois-tu qu'un coeur qui aime peut tout entendre?
Absolument, je suis pour la transparence dans le relationnel. Un coeur qui aime peut tout entendre et tout comprendre. Je suis très tolérante, je crois qu'il n'y a pas de limites, malgré la violence que cela peut engendrer. Et très souvent, après la violence, il y a une réconciliation d'une intensité incroyable.

Quelle est ta plus grande réussite?
C'est d'avoir le luxe de pouvoir faire ce que je veux, surtout artistiquement. Mais je travaille beaucoup pour pouvoir conserver ce luxe, tout en voulant m'affirmer telle que je suis, en prenant des risques, en montrant que j'en ai dans le froc et que je ne crains pas de me ramasser les dents si cela doit arriver.

Te reproches-tu un compromis?
Non, je vis bien avec moi-même, j'apprends à m'accepter, non je n'ai jamais fais de compromis. Je suis parfaitement bien dans mes basques.

Manque-t-il quelque chose à ton bonheur?
Des enfants, mais je me laisse le temps. Car lorsque je serai maman, je veux être une mère parfaite pour mes enfants.

As-tu fait ce métier parce que tu ne savais plus prier?
J'ai prié pour faire ce métier et cela a marché. Je ne sais pas qui j'ai prié, j'ai prié peut-être ma propre volonté, mon courage, j'ai prié sereinement pour réussir ce que je suis en train de faire. Je ne serais certainement pas arrivée où j'en suis sans croire à la bonne étoile.


Date 04.11 Heure 17h15
Lieu Epsom Manotel (Genève)

article quelque peu poussé coté vie privée, mais sympa à lire!

zazounette a écrit:

Il y a aussi in super long article dans le magazine "Platine" de décembre
Je l'avais dailleurs acheté uniquement pour ça lol

Mais bon comme je ne fréquentais pas encore de forum sur Olivia; je n'avais pas scanné

Je m'auto quote lol

Etant donné que je suis en pleine période "scan" pour le moment cet article vous intéresse t'il ?

Si oui je le scannerais avec le reste mais comme les pages sont gdes je mettrais ça sur Image-dream et vous mettrais les liens

Voici le Platine (plus rapide!!! hihihi!!!)

GRUYÈRE Olivia Ruiz aux Francomanias

Un univers qui s’affirme

Sur son deuxième album, «La femme chocolat», sorti en fin d’année, Olivia Ruiz rend hommage à sa famille, à ses grands-parents venus d’Espagne comme à son père, musicien. A travers ses propres chansons et diverses collaborations (Juliette ou Christian Olivier, des Têtes raides, notamment), elle affirme son univers personnel, entre chanson réaliste et scène alternative. Suite de la série d’interviews consacrée aux artistes présents à la 9e édition des Francomanias de Bulle (du 23 au 27 mai).


Olivia Ruiz: «Je ne conçois pas mon travail autrement qu’avec des collaborations, parce que ces échanges permettent de se nourrir les uns les autres»



– Quel souvenir gardez-vous de votre passage à Bulle, aux Francomanias 2004?
Celui d’un organisateur comme on n’en trouve pas beaucoup! Dominique Rime met tout son cœur dans ce festival et j’espérais secrètement revenir… L’accueil du public était aussi très sympathique et dans l’organisation, sans faille, il y avait plein de détails agréables: une jeune femme avait réalisé de peti tes sculptures personnalisées pour chaque artiste. Je n’ai jamais eu l’occasion de la remercier, j’espère pouvoir le faire cette année!

– Depuis, vous avez sorti un nouvel album, La femme chocolat: on dit souvent que le deuxième est plus difficile que le premier…
J’ai du mal à comprendre ce truc-là: sur le deuxième album, avec l’expérience du premier, on ne refait pas les mêmes bêtises. Peut-être que c’est le cas pour les gens qui débutent avec un énorme succès, mais vu que pour le mien c’était un succès honorable, je n’ai pas du tout ressenti de pression. Au contraire, je maîtrise tellement mieux ce travail en studio que je savais comment procéder pour que ce disque me ressemble encore plus. J’ai été omniprésente dans la musique, le choix des instruments et des musiciens, le graphisme… J’ai aussi appris à mieux me faire comprendre, en donnant des mots clés au réalisateur. Alors que pour J’aime pas l’amour, il m’a fallu apprendre et diriger en même temps.

– L’aspect autobiographique de l’album a-t-il germé rapidement?
Je ne l’ai pas du tout conceptualisé. Je ne me suis pas dit: «Tiens, je vais faire un album sur ma famille.» Quand j’ai terminé la tournée de J’aime pas l’amour, en avril, je me suis demandée ce que j’allais faire. Je me suis rendu compte que j’avais déjà pas mal de chansons, données par des potes, centrées sur mes préoccupations du moment, positives ou négatives. J’ai aussi pioché dans mes propres chansons, dont certaines existaient depuis assez longtemps. Et le thème de la famille et de l’âge adulte naissant s’est dessiné.

– N’est-ce pas paradoxal de voir des sujets aussi personnels traités en collaboration?
Non, parce que ce sont des amis qui ont écrit pour moi, des gens qui me connaissent par cœur, qui connaissent mes parents, ma famille… Ils ont travaillé vraiment sur des choses qui me trottaient dans la tête, sur des préoccupations que je leur ai confiées ou sur des choses qui les faisaient rire ou fantasmer.

– Et votre famille, comment a- t-elle réagi après avoir été mise en avant, par exemple sur les photos de la pochette?
Je ne les ai pas prévenus! J’ai amené l’album terminé en disant: «Je suis fière de vous montrer, parce que je suis fière de l’éducation que vous m’avez donnée et j’ai envie de vous rendre hommage.» Présenté ainsi, ils ne pouvaient qu’être heureux d’apparaître sur ce disque. En plus, c’était sincère et c’est mon sentiment profond.

– La femme chocolat contient plusieurs de vos propres chansons: est-ce un pas supplémentaire vers un album entièrement écrit et composé par vous-même?
Ce n’est pas un but ni un objectif. J’écris et je compose tout le temps: que ces chansons existent ou non sur un support, ce n’est pas une inquiétude. Chacune aura son heure. Mais c’est vrai qu’il y a des gens, comme Juliette, qui me disent: «Tu n’as pas besoin qu’on vienne te faire des chansons, tu sais très bien les faire toi-même!» En voyant la confiance qu’ont Mathias et Alain (n.d.l.r: Malzieu et Cluzeau, coréalisateurs de l’album) en mes talents d’auteure-compositrice, parfois cette idée me trotte dans la tête. En même temps, je ne conçois pas mon travail autrement qu’avec des collaborations, parce que ces échanges permettent de se nourrir les uns les autres. On verra bien: c’est la vie qui décidera! De plus, les auteurs-compositeurs que j’affectionne ont une écriture extrêmement pointue, ciselée. Quand je mets mes textes à côté des leurs, je me rends compte que si le sens est bien présent, je ne suis pas encore une grande poétesse!

– Sur scène, par rapport à votre venue d’il y a deux ans, à quoi peut-on s’attendre?
C’est assez différent. Peut-être un peu plus brut, spontané, parce que je suis de mieux en mieux dans ma peau, donc je me lâche de plus en plus. Entre-temps, il y a eu 150 concerts… C’est sur scène que je suis le plus à l’aise, parce que c’est là que j’ai le plus d’expérience. J’aime cet état d’urgence, ce moment où l’on est sur un fil, où l’on n’a pas le temps de réfléchir: on a une heure et demie pour que les gens rient, pleurent, soient émus, repartent avec le sourire et remplis de quelque chose…

En concert aux Francomanias de Bulle, Hôtel de Ville, mercredi 24 mai

Jeudi prochain: Kent

--------------------------------------------------------------------------------

«Au tout début, il y a mon papa»

Trois questions identiques ont été posées à chaque artiste interviewé. Les réponses d’Olivia Ruiz:
— C’est quoi une bonne chanson?
C’est une chanson qui provoque une réaction épidermique, que ce soit dans quelque chose de joyeux ou de dramatique. Pour moi, c’est le cas d’à peu près neuf chansons sur dix des Têtes raides, ou du «Pianiste de Varsovie» de Bécaud, du texte de «Plume d’ange» de Nougaro, d’«Ederlezi», qui est la première chanson du «Temps des gitans» de Bragovic…
— Quelle image avez-vous de la Suisse?
Un pays très accueillant. J’ai fait pas mal de concerts en Suisse et on est toujours super-bien reçus. On est à chaque fois contents de venir parce qu’on sait qu’on va bien manger et qu’on dormira dans de jolis hôtels…
— Est-ce qu’il y a un artiste ou un groupe qui vous a donné envie de faire ce métier?
Dans mes premières histoires d’amour, il y a Montand, Bécaud, Nougaro, Fréhel, Damia, Berthe Sylva… Mais au tout début, c’est mon papa: j’ai eu mes premiers contacts avec la scène toute petite, quand je le voyais chanter…

http://www.lagruyere.ch/archives/2006/06.03.23/gruyere2.htm

J'aime beaucoup la photo de ton article Laura!

Merci pour ces nouveaux articles Laura et Pauline

Je suis en plein scannage d'articles de presse pour notre forum donc autant en faire profiter les autres!!! :

source: "la depeche du midi " du 04 octobre 2006 edition "carcassonne "




source: " la depeche du midi " pour la petite photo
" l'independant " edition " carcassonne " du 04 octobre 2006 pour la grande photo

olivia avec son grand pere un grand momment d emotion !!!!

source: " l'independant " edition " carcassonne " du 04 octobre 2006

je vous fait parvenir donc les 2 compte rendue parue dans la presse audoise (11) que j ai trouver !!!!

pense a ecouter l emission de sud radio ceux dimanche 15 octobre de 10 h 00 a 12 h 00

une belle emission !!!!

merci olivia !!!

Merci Ainoza,merci bcp!!!

Dommage qu'on n'ai pas pu discuter un peu!

Sujet: olivia tour 2006 argentine et chili !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!



http://www.lepetitjournal.com/content/view/8354/1221/

http://tf1.lci.fr/pdf/79/66/0,,3327966,00.pdf

agrandir a 100 pour 100 pour le lire !!

un ptit scoop dedans !

article de olivia en bas de page sur son concert au chili !!!
http://www.culturesfrance.com/medias/userfiles/Brochure12pFRA-exe.pdf

pas facile a trouver des news de cette tournee ! m enfin c est mieux que rien !!!

Olivia est en couverture du journal "20 minutes" (Suisse), et une demi page d'interview lui est consacrée à l'occasion de son concert demain à Nyon
J'ai le journal, mais malheureusement je n'arrive pas à le scanner En attendant, je mets le lien de l'article qui se trouve sur le site http://www.20min.ch/ro/rechercher/story/13295317

Bonne lecture

"20 minutes", le vendredi 10 novembre 2006

Olivia Ruiz: «Je ne suis pas consciente de mon succès»

Olivia Ruiz se produit demain soir à l’Usine à Gaz. Interview avec une des anciennes participantes de la «Star Ac’» qui cartonne.

- Comment trouvez-vous le public suisse?
- Cela s’est toujours bien passé en Suisse. J’ai fait deux fois le Paléo Festival, et c’étaient des moments magiques ! On a commencé par des petites scènes comme le Chat Noir et le public m’accueille toujours très chaleureusement.

- Aimez-vous notre pays?
- Je le connais très peu, car à chaque fois que je viens, c’est pour des journées promo, et c’est la course.

- Comment gère-t-on une telle popularité à 26 ans?
- Concrètement cela ne change pas grand-chose au quotidien. Je continue à être sur les routes, à faire des tournées. C’est difficilement palpable d’avoir vendu autant de disques (n.d.l.r.: 480 000 exemplaires de «La femme chocolat» vendus à ce jour). Je crois que je n’en suis pas encore tout à fait consciente, car j’ai la tête dans le guidon en permanence.

- Vous avez travaillé avec votre petit ami pour réaliser votre dernier album, «La femme chocolat». Comment s’est passée votre collaboration?
- Je veux protéger ma vie privée alors je vais répondre sur les amis qui m’ont aidé. C’était génial, car je n’ai pas eu besoin de chercher des gens! Tous mes proches, qui me connaissent d’ailleurs par cœur, se sont mis à écrire pour moi sur des thèmes très importants de ma vie.

- Est-ce que vous restez liée à la Star Academy ou, au contraire, essayez-vous de vous en détacher?
- Je ne reste pas liée à cet événement. Il s’est passé trop de choses en cinq ans pour que je sois encore bloquée sur ces six petits mois de ma vie. C’est une expérience parmi les autres. C’est juste un épisode parmi les autres, pas forcément le plus marquant, ni artistiquement, ni humainement.

- S’il fallait revenir en arrière, retourneriez-vous à la « Star Ac’ »?
- Je suis du genre à ne vouloir rien changer. Je pense qu’il ne faut rien regretter, même si chaque chose a son lot de difficultés. Je ne changerais rien à tout ce qui s’est passé dans ma vie, ça y compris
.
- Comment expliquez-vous le succès qu’ont aujourd’hui les chansons d’auteur comme les vôtres?
- Je n’en sais rien... C’est peut-être dû à un ras-le-bol du fait qu’on nous sert toujours la même chose. Il y a un manque de profondeur, que ce soit à la télé ou à la radio. Ce ras-le-bol est tout à fait le bienvenu, surtout pour des artistes de ma catégorie!

- Vous êtes probablement l’une des artistes qui s’en sort le mieux après la « Star Ac’ ». A quoi cela est dû?
- Il ne faut pas me comparer aux gens qui sortent de la « Star Ac’ ». Il faut me voir en tant que ce que je suis et c’est tout! J’ai quinze ans de scène derrière moi et je crois que cela porte ses fruits.

- Vous êtes en train de faire une tournée impressionnante...
- Oui, j’aurai fait 130 dates en 2006 et j’en ferai encore entre 60 et 80 en 2007.

- Tenez-vous le coup physiquement?
- Là, je suis un peu malade, j’ai mal à la gorge. Cela dit, ce ne sont pas les concerts qui fatiguent le plus. Ce sont les voyages, la gestion de l’humain, la promo… c’est tout à la fois et tout à fond! Mais je suis quelqu’un qui peut descendre très bas et qui remontre très rapidement aussi!

- Comment envisagez-vous le concert de demain à Nyon?
- J’avoue que je n’ai pas encore regardé la capacité de la salle. En tout cas je suis ravie de revenir en Suisse car on est toujours très bien accueillis par les promoteurs et par le public. Donc j’ai hâte de voir si ce sera encore le cas!

- Vous allez chanter à l’Olympia pour la première fois le 14 décembre, vous appréhendez?
- J’y ai déjà joué pour des premières parties de concert, mais je me doute que cela va être très émouvant pour toute ma famille de voir en lettres rouges le nom d’Olivia Ruiz!

- Vous avez défilé à l’occasion du Salon du chocolat le 27 octobre à Paris. Un commentaire?
- J’ai accepté de défiler car les bénéfices sont entièrement reversés à l’association de Carole Bouquet, Enfance et partage. Mais ce n’est pas vraiment le genre de manifestations qui m’éclatent le plus! Mon plaisir, je le trouve quand je chante, pas forcément en train de défiler en robe de chocolat. Cela reste anecdotique.

Caroline Goldschmid

voila un ptit copier coller !!! excellent article j 'espere que tu pourras y aller et nous raconter tous cela !!

ça y est, mon scanner va mieux
Je mets quand-même l'article du "20 Minutes" du vendredi 10 novembre 2006